Dans les années 1950-1960, on a compté jusque 24 cafés dans la rue Saint-James (Ouest-France, 25/02/2016).
Je garde du café où nous retrouvions nos grands-parents le souvenir des bruits du marché, lorsque nous nous réveillions le matin, le marché aux cochons que nous regardions du haut du premier étage ; les voix des clients dans le café ; les jeux entre les tables, lorsqu’il n’y avait plus personne. Parfois, une escapade dans la rue Saint-James, plus bas, qui prenait des allures d’excursion jusqu’au bout du monde !